Besoins du sujet âgé, dépistage de la dénutrition, et stratégie nutritionnelle personnalisée étaient au cœur du dernier colloque de restitution du projet ANR RENESSENS.
L’offre alimentaire en établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) doit prendre en compte les besoins nutritionnels des résidents mais aussi intégrer leurs préférences alimentaires afin de garantir une consommation suffisante. L’objectif de cette étude est d’explorer les facteurs d’appréciation de plats chez les seniors, en distinguant les facteurs sensoriels (liés à l’aliment et ses propriétés sensorielles) et les facteurs cognitifs (liés au sujet et à ses représentations en mémoire de l’aliment).
Cette étude explore les relations entre la taille des portions d’un plat et d’autres paramètres tels que la vitesse de consommation, la taille des bouchées ou la durée des repas, dans une population de femmes obèses.
Une enquête menée chez 886 consommateurs britanniques a permis de mieux comprendre quels étaient les éléments qui faisaient qu’un repas devenait « mémorable ».
Cette étude menée chez 59 adultes montre qu’une prise de repas tardive et peu de temps avant le coucher pourrait augmenter la quantité de calories ingérées dans la journée.
Cancers, ulcères, hypertension artérielle, athérosclérose… Les bénéfices des brocolis ont été étudiés dans de nombreuses sphères thérapeutiques. D’où lui viennent ces propriétés ? Et qu’en est-il en rhumatologie ?
Comment les consommateurs définissent-ils la satiété ? Quels sont les plats qui leur apparaissent comme les plus satiétogènes ? Une équipe espagnole vient de publier des résultats à ce sujet.
Une étude finlandaise a montré que manger 5 fois par jour, à raison de 3 repas et de 2 en-cas, réduit l’impact de certaines prédispositions génétiques sur l’IMC des adolescents.
Malgré l’importance nutritionnelle du petit-déjeuner, ce repas serait, selon une enquête du CREDOC*, en perte de vitesse en France. En effet, après une hausse jusqu’en 2003, la part des individus prenant un petit-déjeuner tous les jours est en nette diminution. De plus, ce repas est pris de plus en plus seul en semaine et sa composition est de moins en moins complète.
Afin de mieux comprendre les pratiques culinaires des ménages, l’Inra a analysé l’organisation en cuisine et la répartition des tâches de 818 foyers franciliens. Des différences ont été identifiées selon le sexe, l’âge, le rythme de vie, le lieu d’habitation et les compétences culinaires des participants.