L’obésité est un problème de santé publique majeur. Des études récentes ont montré que les caractéristiques de la mère pouvaient influencer le poids de naissance et la prédisposition à l’obésité du nouveau-né.
Stigmatiser un enfant en l’étiquetant « en surpoids » a-t-il une influence sur la survenue d’une obésité 9 ans plus tard ? Oui, répondent des chercheurs américains.
Cette étude menée auprès de familles comprenant un enfant en surpoids ou obèse montre que les parents évaluent généralement mal le statut pondéral de leur enfant.
Une étude américaine a montré que les recommandations autour de l’alimentation des enfants en structure d’accueil (type crèche) n’étaient pas toujours respectées. Pourtant des mesures simples, telles que s’assoir et manger avec l’enfant, le laisser choisir les aliments et se servir, pourraient aider à prévenir les risques liés au surpoids et à l’obésité.
Une étude américaine a montré que substituer les sodas et les jus de fruits en faveur de l’eau et du café était associé à un gain de poids plus faible sur une période de 4 ans, et ce à partir d’une portion substituée par jour.
Une enquête menée sur les enfants de 8 pays européens a permis d’identifier une relation significative entre différents indicateurs d’exposition télévisuelle et l’augmentation du risque d’obésité. De plus, ces indicateurs sont également associés à une propension plus élevée à consommer des aliments à forte teneur en sucre et en graisses.
Une enquête épidémiologique menée par l’INSERM, KANTHAR HEALTH et ROCHE analyse tous les trois ans depuis 15 ans le surpoids et l’obésité en France. L’édition 2012 montre que, malgré une tendance significative à la décélération, la prévalence de l’obésité continue d’augmenter.
L’excès de graisse viscérale est un facteur favorisant l’apparition de maladies cardio-vasculaires. La nature raffinée ou complète des céréales consommées influence-t-elle la répartition de la graisse entre le secteur viscéral ou sous-cutané ?